Auckland, la plus grande ville du pays avec ses 1,5 millions d’habitants, ville qui n’arrête plus de grandir (ou de s’étaler, c’est comme on veut). Elle attire beaucoup de jeunes néo-zélandais, ainsi qu’une grande partie des derniers immigrants (asiatiques, polynésiens). C’est notre troisième séjour dans cette métropole. La premiere fois c’était pour rendre le camping-car après le confinement, la seconde fois en revenant du Northland. Et cette fois-ci, c’est l’ultime arrêt avant de quitter ce beau pays.

Si le nom Auckland fait un peu rêver, nous allons doucher illico votre enthousiasme. La ville est plutôt décevante ! Des banlieues pavillonnaires à perte de vue, des routes dans tous les sens, et en guise de centre-ville un petit centre (le C.B.D. Central Buisness District) à l’échelle de la ville où s’entassent les gratte-ciel. Très peu de monuments à se mettre sous la dent. Et le comble, très peu d’aire de jeux pour les enfants ! Une incongruité quand on sait que le moindre village en NZ possède une chouette aire. Pourtant le site naturel d’Auckland est de toute beauté avec ses lagunes et sa baie, ses anciens volcans. Le potentiel était là, mais le modèle de ville nord-américaine, très peu pour nous. Bon il parait que la ville est agréable à vivre … Allez on a réussi à faire quelques photos : parc dans un ancien cratère, la fameuse sky tower et le C.B.D, le stade de rugby Eden Park.








Bon c’est pas le tout, et si on se faisait une petite sortie avec les Belloc qui sont également dans les parages ! Allez il fait beau, c’est parti pour le volcan le plus récent de la baie d’Auckland, vieux de 600 ans : l’ile de Rangitoto.







Avant de partir, nous voulions passer du temps avec Regan et sa famille. Rendez-vous est donné le dimanche 5 juillet à Hamilton, leur ville, située à 1 heure de route. Regan nous a préparé un super programme. Nous commençons par la visite des jardins de la ville (les plus réputés du pays). Regan nous a ensuite fait visiter sa maison qu’il est en train de restaurer avant de nous emmener dans son aérodrome qu’il a acheté avec 4 associés. Il y avait même un simulateur de vol. Après un petit lunch préparé par notre hôte, on poursuit par le club house de l’aérodrome situé en bout de piste, où les gens du coin viennent boire une bière dans une ambiance grunge auto-gérée, où « l’on peut parler sale … »





On enchaîne avec la visite des bureaux de l’entreprise de Régan. Il dirige un bureau d’expert-comptables avec 17 employés. Les locaux sont modernes. Le chef a un simple bureau au milieu de ses collaborateurs dans une ambiance open-space. Une part belle est faite aux espaces de pause. Plutôt cool les locaux, conforme à l’esprit Kiwi. Cela donne envie !


On termine la journée par une rencontre de rugby de première ligue : Les CHAVES d’Hamilton contre les HURRICANS de Wellington. Le championnat de Nouvelle-Zélande a repris en version réduite avec les 5 meilleures équipes du pays. La partie commence par une danse Maori. L’ambiance est bonne enfant. On mange et on blague dans les tribunes. Sur le terrain c’est très engagé. Hamilton finira par perdre le match. On aura réussi à voir un match professionnel avant de partir ! Ouf ! Merci encore pour tout Regan.




Un grand merci de partager toutes ces découvertes avec nous.
On voyage un peu par procuration!
XG
J’aimeJ’aime