Toi, semblable à un sous- marin de l ‘armée
Tu remontes à la surface
Telle une torpille déchainée
Un geyser explose sorti de ta titanesque masse
Tu respires enfin comme un marathonien
Te dissimulant dans les grandes vagues
Tantot te voyant
Tantot te cherchant
Puis tu réapparais soudain au milieu des algues
Tes poumons sont remplis, toi animal gris
Magnifique créature, excellent plongeur
Tu t’enfonces alors vers les profondeurs.
Bravo pour le poème et le doc sur les oiseaux!!!
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